Coffret Marcel Proust – À la recherche du temps perdu + 1 cadeau

Retrouvez l’intégralité de l’œuvre de Marcel Proust

« A la recherche du temps perdu » dans un coffret deux volumes à tirage limité à partir du 14 Avril 2022 au prix de lancement de 110€ puis 125€ après le 31 Octobre.

Une boîte de Madeleines Offerte pour l’achat de ce coffret en édition limitée pour les 10 premières réservations.

Offre limitée à 10 et dans la limite des stocks disponibles.

Parution le 14 Avril 2022 prix de lancement 110€ jusqu’au 31 Octobre 2022
Bibliothèque de la Pléiade

Édition publiée sous la direction de Jean-Yves Tadié.

Avec la collaboration d’Anne Chevalier, Antoine Compagnon, Francine Goujon, Thierry Laget, Pierre-Louis Rey, Pierre-Edmond Robert et Brian Rogers

Pour un nombre considérable de lecteurs, À la recherche du temps perdu est une œuvre à part, la référence, le Livre. Au catalogue de la Pléiade, le coffret réunissant ses quatre volumes fait figure de navire amiral. L’établissement du texte, l’appareil critique, les Esquisses qui révèlent le roman en formation rendent cette édition irremplaçable. Selon toute vraisemblance, ce n’est que par crainte de devoir acquitter un supplément de bagage que les voyageurs ne l’emportent pas plus souvent sur l’île déserte.
À l’occasion du centième anniversaire de la mort de Proust, la Pléiade propose à titre exceptionnel, et à tirage limité, le texte de la Recherche, intégral et nu (les notes et les Esquisses restant l’apanage de l’édition en quatre volumes), en deux tomes d’environ 1 500 pages chacun. Ce tirage satisfera les globe-trotters, sans leur être réservé. Les sédentaires le placeront près de leur fauteuil. Les promeneurs le glisseront dans leurs poches. Toute table de chevet pourra l’accueillir. Une œuvre-monde, toujours à portée de main, explorable à l’infini.

Parution le 14 Avril 2022
Bibliothèque de la Pléiade
Prix de lancement 110€ jusqu’au 31 Octobre

puis 125€

Boîte de madeleines « Les Jeannettes » contenant 10 madeleines de fabrication artisanale et Française d’une belle entreprise crée en 1850.

C’est à Caen, en 1850 que naît la Biscuiterie Normande, dirigée par Monsieur Mollier. Très vite, la biscuiterie se spécialise dans la fabrication de produits de luxe à base de matières premières de grande qualité venant de Normandie.

La Biscuiterie sera très vite reconnue pour la qualité de ses produits et obtiendra de nombreuses récompenses dont la médaille d’argent lors de l’Exposition Universelle de Paris en 1900.Les années 90 sont difficiles pour la biscuiterie, ponctuées de hauts et de bas. Toute la société s’engage dans un long combat pour conserver son outil de production et son savoir-faire.

Tel le Phoenix qui renaît de ses cendres, la Biscuiterie Jeannette retrouve une nouvelle vie grâce aux salariés, à leur combat pour ne pas perdre leur emploi et leur outil de travail mais aussi à leur volonté de faire vivre un savoir-faire de plus de 150 ans.

Grâce aux contributeurs qui croient depuis le début au projet de relance de monsieur Viana. Grâce aux partenaires, entreprises qui nous ont apporté leur soutien. Grâce à vous, chers clients. Merci de votre confiance. C’est tous ensemble que nous faisons et ferons vivre Jeannette.

Retrouvez leurs produits sur leur site: http://www.jeannette1850.com

Jean de La Fontaine – Fables

Édition de Jean-Pierre Collinet. Préface d’Yves Le Pestipon. Illustrations de Grandville

Au printemps de 1671, Mme de Sévigné et La Rochefoucauld apprennent par cœur « Le Singe et le Chat ». La Fontaine a presque cinquante ans ; la gloire lui est désormais acquise. Aujourd’hui, La Fontaine a quatre cents ans, et l’on en oublierait presque ce que sa gloire, décuplée par les siècles, a de surprenant.
Né en 1621, longtemps « garçon de belles lettres », La Fontaine s’est d’abord contenté de vivre — « Ne point errer est au-dessus de mes forces » — , et de lire. Malherbe et les Anciens, Rabelais et Marot aussi. Il attendra le milieu du Grand Siècle pour commencer à écrire. À la chute de Fouquet (1661), son protecteur, il n’a presque rien publié. Mais bientôt viennent les Contes licencieux et surtout, à partir de 1668, les Fables choisies mises en vers. Le dessein était apparemment modeste : prélever des fables dans un vaste fonds, essentiellement antique (Ésope et Phèdre) pour les offrir au public français. Or, si l’épopée et la tragédie n’étaient pas dénuées de prestige, si le roman même permettait de se forger une réputation, traduire et mettre en vers des fables n’était assurément pas le plus court chemin vers l’immortalité littéraire.
La Fontaine est du côté des Anciens. Pourtant en quête « du nouveau », il revendique une imitation « sans esclavage », et, se gardant de toute affectation, invente un art d’une évidence (apparemment) naturelle : le travail semble invisible dans les Fables (il est vrai qu’aucun brouillon ne nous en est parvenu). Le secret de leur modernité ? Peut-être la pensée mobile du monde qui s’y déploie. Plutôt que d’imposer ses vues sur la nature humaine à la façon d’un moraliste, La Fontaine propose « une ample comédie à cent actes divers », ou encore un « tableau où chacun de nous se trouve dépeint ». La sagesse à l’œuvre dans les Fables n’est pas le produit de quelque transcendance: elle se déduit des dialogues, des actions et des passions des personnages, placés parmi les choses terrestres. De là sans doute une fascinante et inépuisable profondeur. « Non seulement il a inventé le genre de poésie où il s’est appliqué, mais il l’a porté à sa dernière perfection », dira de lui Charles Perrault, qui notait — et le constat demeure valable — combien les Fables plaisaient à tout le monde, tant aux « enjoués » qu’aux « sérieux », tant aux vieillards qu’aux enfants.
Le texte intégral des Fables est ici accompagné d’illustrations de Grandville. C’est la première fois que se trouvent ainsi réunies toutes ses gravures (une par fable) publiées en 1837 et 1840, et une importante sélection de ses dessins, qui nous plongent dans l’atelier de l’artiste.
Ses essais, tâtonnements et repentirs dévoilent le jeu entre représentation animale et représentation humaine des personnages. Baudelaire disait de Grandville qu’il l’effrayait plus qu’il ne le divertissait. Effrayante parfois, c’est vrai, drolatique souvent, pétrie de ses fantasmes et de ses hantises, la mise en image des Fables de La Fontaine par Grandville constitue un chef-d’œuvre de l’illustration.

Prix public TTC 49.90€ jusqu’au 30.09.2021
Titre FABLES
Auteur JEAN DE LA FONTAINE
ISBN 9782072939983
Editeur BIBLIOTHEQUE DE LA PLEIADE